6 janvier 2010
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21:29
Bon la PMA c'est pas glamour, ça on avait toutes saisies. Mais il faut reconnaître que c'est super intéressant intellectuellement parlant.
Là, vous vous dites: ce coup-ci elle a vraiment pété un cable!
Eh bien que non les copines, pas du tout.
Je pense qu'il y a 2 solutions pour nous:
-Suivre simplement ce que disent le médecins, sans se soucier et j'admire celles qui le font!
-S'intéresser complètement au traitement, prendre beaucoup de renseignements...
Moi je suis dans le second cas, j'ai pris le parti de comprendre ce qu'on me faisait, essayer d'appréhender les différentes techniques...
Jusque là, ça ne posait pas problème, ça ne faisait pas avancer le chmilblik, mais ça me permettait d'échanger des points de vue avec ma gygy, elle savait qu'on pouvait discuter et parfois confronter nos points de vue sur l'ajustement du traitement.
Maintenant que je suis en centre et je sens bien que je suis patiente face aux pros. J'y suis allée en sachant cela. On ne me donne pas mes taux spontanément, on ne me dit pas grand chose en fait et surtout on ne me demande rien. Remarquez jusque là je jouais le jeu et je me laissais guider sans moufter.
Pourtant après 13 traitements identiques, je pense que mon humble point de vue pourrait aider.
Bref, tout ça pour dire que ce matin, j'ai fait mon contrôle des 8 jours de stimulation.
Pleins de fofos entre 10 et 12, jusque là, RAS, et un taux d'oestradiol à 200 (j'ai même pas osé demander pour la LH...). La gentille SF me dit: "c'est bien, on continue comme ça!".
J'ai gentillement tenté de lui expliquer que 200 sur moi ça veut dire quedal. Qu'à ce rythme on ne ferait pas la ponction... C'est pas contre elle, mais je connais mon corps et sa réaction. Elle m'a dit qu'on verrait vendredi.
Moi j'ai rien contre, je me dis que le décapeptyl tous les soirs doit tenir l'oestradiol à un bas niveau (ce qui est la seule explication logique pour moi, pour justifier la non augmentation de la dose de Gonal...) et que ça va décoller comme jamais après.
Bref, ce qui me fout les glandes, c'est que pour eux, comme elle m'a dit, je suis jeune et au départ d'une 1ère FIV. Donc ils tâtonnent. Et ça, je trouve que c'est intolérable, j'ai déjà près de 2 ans et demi de stim sous Gonal (et précédemment cétrotide remplacé par le décapeptyl sur ce coup) , je connais tous mes taux de référence qui sont toujours les mêmes mois après mois.
Je veux bien faire confiance mais au lieu de me voire comme une caractéristique, j'apprécierai grandement qu'on me demande comment ça se passait avant, ou à défaut qu'on m'explique BORDEL.
Appel a témoin, qui a eu gonal et déca 0.1 tous les soirs, un taux de 200 en oestradiol au 8ème jour de stim et qui a eu une ponction de plus d'un ovocyte parce que là, honnêtement je le sens pas, mais alors pas du tout. Ca pue le coup pour rien!
Là, vous vous dites: ce coup-ci elle a vraiment pété un cable!
Eh bien que non les copines, pas du tout.
Je pense qu'il y a 2 solutions pour nous:
-Suivre simplement ce que disent le médecins, sans se soucier et j'admire celles qui le font!
-S'intéresser complètement au traitement, prendre beaucoup de renseignements...
Moi je suis dans le second cas, j'ai pris le parti de comprendre ce qu'on me faisait, essayer d'appréhender les différentes techniques...
Jusque là, ça ne posait pas problème, ça ne faisait pas avancer le chmilblik, mais ça me permettait d'échanger des points de vue avec ma gygy, elle savait qu'on pouvait discuter et parfois confronter nos points de vue sur l'ajustement du traitement.
Maintenant que je suis en centre et je sens bien que je suis patiente face aux pros. J'y suis allée en sachant cela. On ne me donne pas mes taux spontanément, on ne me dit pas grand chose en fait et surtout on ne me demande rien. Remarquez jusque là je jouais le jeu et je me laissais guider sans moufter.
Pourtant après 13 traitements identiques, je pense que mon humble point de vue pourrait aider.
Bref, tout ça pour dire que ce matin, j'ai fait mon contrôle des 8 jours de stimulation.
Pleins de fofos entre 10 et 12, jusque là, RAS, et un taux d'oestradiol à 200 (j'ai même pas osé demander pour la LH...). La gentille SF me dit: "c'est bien, on continue comme ça!".
J'ai gentillement tenté de lui expliquer que 200 sur moi ça veut dire quedal. Qu'à ce rythme on ne ferait pas la ponction... C'est pas contre elle, mais je connais mon corps et sa réaction. Elle m'a dit qu'on verrait vendredi.
Moi j'ai rien contre, je me dis que le décapeptyl tous les soirs doit tenir l'oestradiol à un bas niveau (ce qui est la seule explication logique pour moi, pour justifier la non augmentation de la dose de Gonal...) et que ça va décoller comme jamais après.
Bref, ce qui me fout les glandes, c'est que pour eux, comme elle m'a dit, je suis jeune et au départ d'une 1ère FIV. Donc ils tâtonnent. Et ça, je trouve que c'est intolérable, j'ai déjà près de 2 ans et demi de stim sous Gonal (et précédemment cétrotide remplacé par le décapeptyl sur ce coup) , je connais tous mes taux de référence qui sont toujours les mêmes mois après mois.
Je veux bien faire confiance mais au lieu de me voire comme une caractéristique, j'apprécierai grandement qu'on me demande comment ça se passait avant, ou à défaut qu'on m'explique BORDEL.
Appel a témoin, qui a eu gonal et déca 0.1 tous les soirs, un taux de 200 en oestradiol au 8ème jour de stim et qui a eu une ponction de plus d'un ovocyte parce que là, honnêtement je le sens pas, mais alors pas du tout. Ca pue le coup pour rien!